DAFT PUNK - " Instant crush" (2013)

                                                    

                     " RANDOM ACCESS MEMORY " (2013)

Cet album est une insulte à la musique ! 

                                              Personne ne me fera avaler, à l'écoute de "LOVE YOURSELF TO DANCE" , que les petits Thomas et Guy-manuel, lors des premiers émois musicaux de leur adolescence Versaillaise, ont têté goulument aux mammelles de Curtis Mayfield, james Brown ou Funkadelic.

          Si tu veux rendre hommage à cette musique, tu ne peux pas pondre  une daube pareille. Tu n'as pas le droit.

La batterie sur ce titre est l'anti-thèse de la batterie funk. Où est le son de caisse claire ? Le truc bien tight qui invite à la lévitation. Et les cuivres ? Bordel, je pose la question: où sont ces putain de cuivre ?

C'est plat, sans une once d' inspiration, pas d'émotion. bref çà groove pas. Et, s'il y a bien une musique qui doit groover, hein, c'est bien la funky music !

Qu'est-ce que Nile Rodgers a bien pu venir foutre dans cet album ? lui, les cocottes qui foutent le feu , il connait pourtant...

Et que dire de Julian Casablancas, dans  " INSTANTCRUSH" ? le chanteur de l'ex-futur plus grand groupe de Rock des années 2000. Vocoderisé, désodorisé, aseptisé. Les salauds le ridiculisent dans ce clip infâme.

DAFT PUNK triomphe. DAFT PUNK définit les tables de la musique d'aujourd hui pour blaireaux gavés  à la soupe médiatico ramollissante du bulbe.

ARGH, ils nous la mettent bien profond. Et avec le casque, çà a vraiment du mal à passer.

                                  

                                "oui, James, c'est par là le groove....."